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Toxicité du cadmium : comprendre les risques
Le cadmium toxicité : une toxicité très élevée. Découvrez les sources d'exposition, les symptômes et les moyens de prévention.
Le resvératrol est un polyphénol qui est produit par des végétaux. Cette molécule fut clairement connue pour ses qualités anti oxydantes depuis plusieurs décennies. Mais ses propriétés pharmacologiques vont bien au-delà et nous allons essayer de mettre en avant certaines d’entre elles qui agissent sur des problèmes de santé (cancer, diabète, inflammation, douleurs articulaires anti-âge et longévité…).
En dehors de son côté anti-oxydant, le resvératrol est largement consommé en France à partir du vin rouge. Tout le monde a entendu parler du paradoxe français. En résumé, les français qui vivent dans le sud-ouest mangent plus riche que les autres, consomment plus de fruits, légumes et gras végétal. Mais ils ont moins d’infarctus. Le resvératrol étant en quantité dans le vin, il a été suspecté comme étant impliqué dans la protection cardiovasculaire. Cela a intéressé de nombreux laboratoires de recherche, ce qui fait que le resvératrol est l’une des molécules les plus étudiées au monde depuis les années 2000.
Le resvératrol ou 3,4’,5-trihydroxystilbène est une phytoalexine possédant des propriétés antibiotiques capable d’aider la plante à se défendre contre des infections à champignons ou bactériennes. Ce resvératrol appartient à la classe des stilbènes et plus largement à la grande famille des polyphénols.
Le resvératrol est synthétisé par des végétaux comme la vigne pour se défendre contre la « pourriture grise » provoqué par un champignon Botrytis cinerea. Le resvératrol ainsi produit va agir comme antibiotique naturel et bloquer la prolifération de ce parasite. Mais le resvératrol est produit par les végétaux en réponse à d’autres stress comme les rayons UV, l’ozone et même des modifications climatologiques.
Le resveratrol n’est pas seulement produit par la vigne. En effet, cette molécule est produite par environ 70 espèces végétales qui sont réparties en 32 genres. Il existe donc une multitude de sources de resvératrol. Bien entendu, les concentrations élevées sont essentiellement dans la vigne et en particulier dans la peau du raisin noir, mais aussi dans les baies rouges comme les myrtilles et les mûres. Les framboises, airelles et canneberges abritent aussi cette substance fabuleuse. Les cacahuètes ou l’arachide peuvent être une source non négligeable en resvératrol.
Puisque la vigne est le végétal le plus riche, nous allons donner quelques idées de teneur : la peau du raisin contient environ 50 à 100 mg de resvératrol par gramme de poids total. De ce fait, le vin et le jus de raisin en sont largement pourvus. Ainsi le vin contient 0,6 à 8 mg de resvératrol par litre. Mais cette teneur est fonction des cépages et les diverses études indiquent que les cépages comme le Pinot noir, le Zweigeltrebe et le Merlot sont les plus riches. Mais le cépage ne fait pas tout car selon les régions où sont cultivées les vignes, il faut savoir que plus une région est humide, plus le resveratrol sera en quantité. Privilégiez donc les bons cépages dans les régions tempérées et non traités par les produits phytosanitaires !
Dès l’administration d’aliment riche en resvératrol chez l’homme quel que soit sa forme liquide ou solide, cette molécule va être absorbée au niveau du duodénum et du jéjunum. C’est alors que le resvératrol va être métabolisé par des enzymes entéro-hépatiques, les UGT. Ces enzymes vont alors dégrader le resvératrol en composé plus polaire (formes sulfo- et glycuro-conjuguées) et donc plus facilement éliminable par les reins.
Il faut savoir que son absorption est très rapide car chez l’homme la totalité du resvératrol absorbé se retrouve dans le plasma sanguin après 30 minutes seulement. Et au bout d’une heure environ, il ne reste que très peu de resvératrol libre.
Cette donnée est fondamentale, car l’objectif est de se supplémenter en resveratrol actif ! C’est la raison pour laquelle un laboratoire de recherche académique s’est fortement impliqué grâce au financement d’YVERY, à la mise au point d’une forme hautement biodisponible de resvératrol sans utiliser de techniques liposomales (similaire à des nanotechnologies et donc potentiellement fortement inflammatoires).
Les actifs naturels ne sont pas sous forme de poudre dans les végétaux. Il nous a paru donc évident de solubiliser le resvératrol pour mimer sont état naturel dans la peau de raisin.
Nous avons donc testé de nombreux excipients huileux alimentaires ainsi qu’un grand nombre de leurs combinaisons. Ces deux années de recherches nous ont permis de sélectionner deux d’entre eux qui associés au resvératrol permettait à ce dernier la meilleure solubilisation. Il nous fallait maintenant tester chez l’humain l’efficacité de cette formule par rapport à une forme poudre.
Les résultats obtenus furent au-delà de nos espérance car la faible quantité de resvératrol administré aux sujets permettait d’avoir dans cette formulation innovante toujours une dose de resvératrol active dans le sang, et ce pendant plus de six heures ! Pour avoir le même résultat avec du resvératrol en poudre (gelule) il fallait 10 fois plus de resvératrol et ce toutes les heures. Pour mieux comprendre, 20 mg de notre resvératrol biodisponible en une seule prise est équivalent à 1200 mg réparti sur les six heures ! Nous avions ainsi mis au point une formulation qui allait permettre d’utiliser le resvératrol en prévention ou en thérapeutique vu le nombre de propriétés pharmacologiques de cette molécule.
Cette donnée est importante car lorsque vous achetez un complément alimentaire contenant du resvératrol en poudre dans une gélule ou sous forme comprimée, même en fort dosage, en une heure il n’y aura presque plus rien. Il faut donc privilégier des compléments alimentaires de resvératrol ayant une forme galénique biodisponible testée cliniquement. La forme capsule au cœur liquide contenant environ 20 mg de resvératrol par exemple offrira beaucoup plus de biodisponibilité et d’efficacité que n’importe quelle autre forme galénique gélule ou comprimé contenant de très fortes doses de resveratrol !
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Formule brevetée, conçue par notre équipe scientifique en France
Le resvératrol est une molécule emblématique du « french paradox » : Boire du vin rouge ferait du bien à votre santé. Oui, mais avec modération bien entendu. Bon nombre d’études ont vu le jour qui avaient pour but de démontrer les bienfaits du resvératrol sur la santé.
Le resvératrol module directement ou indirectement plusieurs voies de signalisation cellulaire.
Selon l’analyse PAGE (Parametric analysis of gene set enrichment), le resvératrol induit une modification significative de 127 voies métaboliques et de signalisation, y compris le cycle de Krebs, la glycolyse, la restriction calorique, la voie de signalisation de l’insuline, la phosphorylation oxydative et le transport des électrons, la voie de signalisation de STAT3, la voie p53, la voie des ROS, l’arrêt du cycle cellulaire, la mort cellulaire, la voie Sirtuine (SIRT), la voie NF-kpB. Ces données nous montrent l’effet pléiotropique du resvératrol et explique les raisons de l’intérêt porté à l’utilisation potentiel du resvératrol dans le traitement de différentes maladies reliées au système cardiovasculaire, l’inflammation, les processus de vieillissement, les diabètes, le dysfonctionnement neurologique, la carcinogénèse, etc.
Dans les nombreux bienfaits du resvératrol on compte également des propriétés antioxydantes puissantes mais aussi anti-inflammatoires.
Le resvératrol est une molécule naturelle qui a été découverte depuis un demi-siècle environ. Elle a été identifiée comme une molécule antioxydante majeure et de ce fait est largement consommée par la population mondiale. Ce très large recul nous permet d’affirmer que le resvératrol n’a pas d’effets secondaires excepté comme pour tout autres éléments, une consommation excessive. Cependant, le resvératrol étant une molécule possédant de nombreuses propriétés pharmacologiques, le resvératrol présente donc des contres-indications.
TNF: Tumuor necrosis factor; COX-1: cyclooxygenase1; COX-2: cyclooxygenase2; iNOS: inducible nitric oxide synthase; CRP: C reactif protein; ILx: interleukins; AhR: aryl hydrocabon receptor; SIRT: sirtuin; PGC-1: Peroxisome proliferator-activated receptor-gamma coactivator 1; ET-1: endothelin 1; MMPs: matrix metalloproteases; VEGF: vascular endothelial growth factor; ICAM-1: intracellular adhesion molecule 1; Bcl-2: B cell lymphoma 2; Bcl-XL: B cell lymphoma-extra large; XIAP: X-linked inhibitor of apoptosis protein; TRAF2: TNF receptor-associated factor 2; Rb: retinoblastome; CDKs: cyclin-dependent kinases; c-myc: myc proto-oncogen protein; SOD: superoxide; GPx: glutathione peroxidase. (D’après la thèse de doctorat de Dao T-MA. Inflammation intestinale et diabète de type 2 : effet du Resveratrol. [Marseille, France]: Université de la Méditerranée (Aix Marseille 2); 2011).
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