Tout savoir sur le diabète type 1

Comprendre le diabète type 1 dans son ensemble et les solutions existantes

Le diabète type 1 représente en moyenne 10% des cas de diabète à travers le monde. Son origine est totalement différente du diabète type 2 car en effet il résulte d’une réaction immunitaire auto-immune. Donc voici un guide complet du diabète type 1 : les signaux d’alerte, le diagnostic, le fonctionnement de ce type de diabète, les traitements …

Le diabète qu’est ce que c’est ?

Le diabète est un trouble qui touche la glycémie et le métabolisme du sucre. On dit qu’il se caractérise par une hyperglycémie chronique. En effet, dans ce type de trouble, on observe une augmentation du taux de glycémie de façon prolongée dans le sang.

Cette augmentation de la glycémie peut être due à des problèmes d’assimilation du glucose,
d’utilisation du glucose ou encore de stockage.

Les deux types de diabète prédominant :
● Le diabète type 1 : non production d’insuline par les cellules bêta du pancréas. En effet, ceci résulte d’une réaction auto-immune.
● Le diabète type 2 : production de faibles quantités d’insuline (insulinopénie) ou mauvais fonctionnement de l’insuline (insulinorésistance). Ce type de diabète survient généralement à la suite d’ une mauvaise hygiène de vie.

Le diabète de type 1 représente près de 10% des personnes atteintes de diabète.

Le diabète type 1 : comment ça fonctionne ?

Le diabète de type 1 est une maladie dite auto-immune.
Il est généralement décelé dans l’enfance ou l’adolescence.

On le sait bien, le glucose est une source d’énergie pour notre corps. On le retrouve dans nos aliments. Pour être assimilé et métabolisé il faut réguler son taux dans le sang et le stocker : c’est le rôle de l’insuline.

Dans le cas du diabète de type 1, les cellules responsables de la production d’insuline sont détruites par les cellules de l’immunité. C’est pour cette raison que l’on parle de maladie auto-immune. En effet, ces cellules bêta vont être reconnues comme corps étranger par le système immunitaire de la personne malade. Ceci entraîne une réaction en chaîne qui conduit à la destruction progressive et définitive des cellules bêta. Par conséquent, l’insuline ne sera plus produite par le corps.

N’ayant plus d’insuline, le taux de glucose dans le sang, ne pourra donc pas être régulé.

A ce jour, les recherches scientifiques continuent, mais on ne sait toujours pas précisément ce qui déclenche cette réaction immunitaire. Le patient est donc dans l’obligation de se supplémenter en insuline.

Le diabète type 1 : les signes annonciateurs de la maladie

Le diabète type 1 provoque au cours du temps, l’apparition de différents symptômes. Ces symptômes sont liés à l’hyperglycémie.

Parmi ces symptômes on peut noter une augmentation du besoin de boire. On appelle ce phénomène la polydipsie. Les personnes atteintes ont également plus envie d’uriner. Un diabète type 1 peut également entraîner une perte de poids inexpliquée. Il peut également causer des symptômes relatifs à l’état général : fatigue chronique, troubles de la vision.

S’il n’est pas diagnostiqué, le diabète type 1 entraîne alors l’apparition d’autres symptômes tels que :
● Des pertes d’appétits, mal au coeur, voir même des vomissements
● Une fatigue extrême
● Des odeurs anormales de transpiration, d’haleine et des urines

Si vous souhaitez en savoir plus à propos du diabète type 1, vous pouvez vous rendre sur le site ameli.fr.

Comment diagnostiquer le diabète type 1 ?

Le diagnostic est généralement posé par le médecin traitant, endocrinologue spécialisé ou diabétologue. Il est établi au travers de l’apparition des symptômes du diabète, et confirmé par une prise de sang.
Le dépistage du diabète type 1 consiste en une prise de sang qui dose le taux de glucose / sucres dans le sang. Ce taux est appelé glycémie.

Ce taux doit être :
● Inférieur ou égal à 1,26g/L à jeun.
● Inférieur à 2g/L durant la journée (suite au bol alimentaire)

Si ce taux à jeun est compris entre 1,10g/L et 1,26g/L, le patient sera considéré comme prédiabétique. Si ces deux taux de glycémie sont supérieurs, alors un diagnostic de diabète peut être formulé par le médecin.

D’autres tests peuvent être fait pour confirmer ce diagnostic à savoir le taux d’hémoglobine glyquée. De la même façon, un diabète type 1 présente un marqueur différent du diabète type 2 : les anticorps dirigés contre les cellules bêta du pancréas. Suite à un diagnostic de diabète type 1 d’autres tests seront à effectuer régulièrement afin de faire un suivi.

Les causes du diabète type 1 sont-elles identifiées ?

Les causes de diabète type 1 sont encore floues. Cependant une personne issue d’une famille comptant une ou des personnes diabétiques augmente par le 20, le risque d’être diabétique. C’est d’ailleurs pour cette raison que des tests d’anticorps sont réalisés en amont de l’apparition de potentiels symptômes, sur cette population à risque.

Les causes réelles du diabète de type 1 ne sont pas exactement connues. Il semblerait tout de même que des facteurs environnementaux soient impliqués.

La flore intestinale est d’ailleurs suspectée dans le développement des maladies auto-immunes,
comme le diabète.

Le diabète type 1 : les symptômes et conséquences sur la santé

La non production d’insuline peut avoir de réelles conséquences sur la santé.

L’insuline a pour rôle de faire entrer les sucres dans les cellules pour être stocké. S’il n’est pas stocké, alors il est circulant dans le sang. On observe donc une hyperglycémie. Le diabète type 1 peut donc conduire à un coma hyperosmolaire (lié à une concentration en sucre dans le sang trop importante).

Il existe un risque pour certains patient sous insulino thérapie, de mal doser l’insuline à injecter et ils risquent alors l’hypoglycémie.

Le non stockage du sucre dans les cellules, fait quele corps change de carburant (d’énergie). Il va donc se mettre à utiliser les graisses. Si ce n’est pas contrôlé, il y a formation de corps cétoniques. Ces derniers s’accumulent dans le sang et sont toxiques, conduisant dans les cas les plus graves ) l’acidocétose diabétique.

Un diabète type 1 mal géré entrâine à long terme des problèmes cardio vasculairen pouvant être très grave (infarctus, AVC, athérosclérose, affection des micro artères …).

L’insuline favorise l’entrée du glucose dans plusieurs types de cellules, notamment dans les cellules musculaires, les adipocytes (cellules graisseuses) et les hépatocytes (cellules du foie). L’absence de cette hormone empêche l’organisme de stocker du sucre. Elle entraîne donc un risque majeur d’hyperglycémie au moment des prises alimentaires. Pour les patients sous insulinothérapie, il existe en outre un risque d’hypoglycémie entre les repas, en cas d’injection d’une dose excessive d’insuline. Ces hypoglycémies peuvent être graves en l’absence de prise rapide de sucre, avec notamment un risque de coma.

En l’absence de glucose pour alimenter les organes, en particulier le cerveau et le cœur, l’organisme a recours à une solution de secours : il utilise les graisses stockées pour produire des substances énergétiques alternatives, nommées corps cétoniques. Cependant, l’accumulation de corps cétonique dans le sang s’avère toxique pour l’organisme : au-delà d’un certain taux, on parle d’acidocétose diabétique. Elle se manifeste par différents symptômes, notamment des douleurs abdominales, et peut elle-aussi conduire au coma.

L’insuline favorise l’entrée du glucose dans plusieurs types de cellules, notamment dans les cellules musculaires, les adipocytes (cellules graisseuses) et les hépatocytes (cellules du foie). L’absence de cette hormone empêche l’organisme de stocker du sucre. Elle entraîne donc un risque majeur d’hyperglycémie au moment des prises alimentaires. Pour les patients sous insulinothérapie, il existe en outre un risque d’hypoglycémie entre les repas, en cas d’injection d’une dose excessive d’insuline. Ces hypoglycémies peuvent être graves en l’absence de prise rapide de sucre, avec notamment un risque de coma.

En l’absence de glucose pour alimenter les organes, en particulier le cerveau et le cœur, l’organisme a recours à une solution de secours : il utilise les graisses stockées pour produire des substances énergétiques alternatives, nommées corps cétoniques. Cependant, l’accumulation de corps cétonique dans le sang s’avère toxique pour l’organisme : au-delà d’un certain taux, on parle d’acidocétose diabétique. Elle se manifeste par différents symptômes, notamment des douleurs abdominales, et peut elle-aussi conduire au coma.

Quels sont les traitements et solutions existants pour le diabète type 1 ?

 

Le traitementdu diabète type 1 nécessite une discipline de fer, ce qui permet d’avoir une vie quasiment normale.

 

Les traitements médicaux pour le diabète type 1

Parmis les traitements médicaux prescrit dans le cas d’un diabète de type 1 on compte l’injection d’insuline. Pour cela, il est nécessaire de contrôler son taux de glucose dans le sang. Le contrôle de la glycémie se fait à l’aide d’un lecteur de glycémie. C’est un petit appareil qui permet de réaliser un prélèvement sanguin au bout du doigt et qui analyse le taux de sucre. En fonction de la valeur indiquée, le patient pourra définir s’il faut réaliser une injection d’insuline.

Il existe plusieurs types d’insuline à injecter en fonction du besoin. En effet, certaines insulines ont une action rapide, lorsque d’autres ont une action lente. Le type d’insuline est choisi par le médecin traitant après discussion avec le patient et étude du cas.

L’injection directe dans le sang d’insuline permet aux patients de compenser le manque de production d’insuline par le pancréas. De cette manière, les effets d’une hyperglycémie sont contrés. Cependant, ce traitement nécessite une rigueure particulière tout au long de la vie du patient.

 

Les gestes qui améliorent la vie des patients

Dans le but d’avoir une meilleure qualité de vie, les patients atteint du diabète type 1 peuvent mettre en place un régime alimentaire approprié à leur pathologie. Le sport est également nécessaire car il va permettre la consommation du glucose sanguin.

La flore intestinale jouerait un rôle important dans la prévention  des maladies auto-immune dont fait partie le diabète type 1. Agir sur sa flore intestinale revient à éliminer les bactérie Gram – et favoriser le développement des bactéries Gram +. Nous avons montré dans nos études que le resvératrol avait un rôle important dans le développement des bactérie Gram +. Le resvératrol peut donc être un complément intéressant pour les personnes souffrant de diabète type 1.